Quel bilan faut-il tirer des contrats de réciprocité entre les métropoles et les territoires ruraux ? Leur objectif initial de dépasser les logiques d’opposition entre territoires, à encourager les complémentarités et les coopérations entre les espaces ruraux, périurbains et urbains est-il bien rempli ?
La métropolisation et les réformes territoriales récentes conduisent inévitablement à reconsidérer la relation entre métropoles et zones rurales dans le sens de l’interterritorialité que Martin Vanier2 définit comme « la recherche de l’efficacité de l’action publique territoriale par la coordination, l’articulation, l’assemblage des territoires, tels qu’ils sont ». Pour les métropoles, il s’agit finalement de s’inscrire dans une dialectique du supra-territorial – à travers des réseaux de diverses échelles – et de l’interterritorial en favorisant un dialogue et une gouvernance rural-urbain qui…
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