Plus d’un tiers des effectifs dans l’enseignement supérieur et la recherche sont aujourd’hui des contractuels, une proportion restée stable depuis 2012. Parmi cette population de contractuels, des différences apparaissent entre les enseignants et les non enseignants. Face à l’accélération des transformations et à la concurrence accrue au niveau international, des évolutions législatives et réglementaires sont nécessaires.
Résumé
Les universités françaises ont connu de profonds bouleversements depuis dix ans, leur conférant une autonomie de gestion (notamment en matière de ressources humaines) et les conduisant à des regroupements afin d’accroître leur visibilité et leur poids à l’international. Dotées d’un effectif de 200 000 personnes, elles comptent plus d’un tiers de contractuels, part relativement stable depuis 2012. Parmi cette population de contractuels, des différences apparaissent entre les enseignants et les non enseignants. Pour les premiers, des statuts spécifiques existent et renvoient soit à une…
Cet article est réservé aux abonnés.
OU
Abonnez-vous à la revue Horizons publics
-
Formule Intégrale Pro
6 numéros par an
+ 4 hors-séries
+ 10 comptes d'accès au site
-
Formule Intégrale Perso
6 numéros par an
+ 4 hors-séries
+ 1 compte d'accès au site
S'abonner