Eugénie Michardière, Evelyne Lhoste et Hugues Bazin peuvent être considérés comme des chercheurs et praticiens pionniers des tiers-lieux. Engagés dans ce mouvement depuis de nombreuses années, ils approuvent la nouvelle approche de l’État mais défendent un droit à l’expérimentation. Selon eux, les tiers-lieux peuvent nous aider engager les transformations environnementales, économiques et sociales dont nous avons besoin dans les années à venir.
Evelyne Lhoste
Chercheure au laboratoire interdisciplinaire sciences innovations sociétés (LISIS), Evelyne Lhoste s’intéresse au rôle des tiers-lieux dans l’innovation. Elle étudie les intermédiations de recherche dans les transitions écologiques et solidaires.
Que pensez-vous de l’engagement de l’État d’accompagner l’essor des tiers-lieux et de les soutenir financièrement comme jamais auparavant ?
Evelyne Lhoste – Il y a une évolution positive et une volonté de travailler autrement par rapport à 2018, l’année de publication du premier rapport sur les tiers-lieux1. La dynamique, la…
Cet article est réservé aux abonnés.
OU
Abonnez-vous à la revue Horizons publics
-
Formule Intégrale Pro
6 numéros par an
+ 4 hors-séries
+ 10 comptes d'accès au site
-
Formule Intégrale Perso
6 numéros par an
+ 4 hors-séries
+ 1 compte d'accès au site
S'abonner