Emmanuel Bonnet est enseignant-chercheur à Clermont School of Business, membre des laboratoires Clermont Recherche Management (CleRMa) et d’Origens Media Lab. Dans le cadre du master Stratégie et design pour l’anthropocène avec ses étudiants, il se rend depuis quatre ans sur le territoire de la station de ski Chastreix-Sancy. Objectif : accompagner les réflexions d’un territoire sentinelle du changement climatique.
Comment êtes-vous arrivé à travailler avec le territoire de Chastreix-Sancy ?
J’ai découvert ce territoire en partie par hasard. Je recherchais des milieux troublés permettant d’expérimenter des dispositifs pédagogiques, situés à proximité de Clermont-Ferrand et illustrant les transformations sensibles de l’anthropocène. L’idée était de mener une enquête immersive et exploratoire avec les étudiants. Le point d’entrée a été la réserve naturelle de Chastreix-Sancy, il y a quatre ans.
Ce qui est intéressant, c’est que la réserve ne se limite pas à la gestion d’un patrimoine naturel. C’est aussi…
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