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La prospective territoriale et l’anthropocène : question de méthode ou d’éthique ?

En chantier
L'entrée dans l'anthropocène induit un changement de monde, monde qui reste à édifier, monde dont l'existence résultera de notre aptitude à sortir de la modernité en atterrissant et en se resituant.
©S. Cordobes
Le 24 mars 2021

Pour mener sérieusement la bifurcation écologique, la prospective territoriale, et ceux qui l’animent, ne peuvent s’épargner un travail d’introspection et de repositionnement. Un ajustement nécessaire pour contribuer à « refaire territoire » dans le monde anthropocène.

L’anthropocène est un rendez-vous que la prospective territoriale ne saurait manquer. En effet, comment l’ingénierie, qui s’est dédiée au futur des territoires, pourrait-elle se détourner d’une épreuve qui remet potentiellement en cause le futur de ces territoires en particulier, de l’humanité et de nombreuses autres espèces vivantes en général ? Surseoir à cette convocation n’est pas envisageable. La mobilisation des acteurs concernés au premier chef, comme le club prospective de l’Association des directeurs généraux des communautés de France (ADGCF), confirme la conscience aigüe que ceux-ci…
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