Quelles villes pour demain ?

de gauche à droite : Philippe Torres (Atelier BNP Paribas), Edouard Husson (PSL), Denis Skobel (Bouygues Energies & Services)
©Gérard Ramirez del Villar
Le 6 avril 2018

Attractivités, mobilités, espaces… Il importe de percevoir comment ces problématiques évoluent pour s’adapter au mieux, voire changer les solutions. Dépasser les schémas, raisonner en termes de réseaux et de partenariats : telles sont quelques pistes de réflexion – et d’action - à retenir de la matinée organisée par l’Institut Esprit Service, via son LAB « Villes de demain ». Un événement réalisé en partenariat avec PSL Université Paris sur le thème « Quelles villes demain ? ». Rappelons que l’Institut Esprit Service est un Think Tank créé par le MEDEF et que l’Université PSL (4 500 chercheurs et 17 000 étudiants), réunit entre autres le CNRS, l’Inria, le Collège de France, Mines Paris Tech, Normale Sup… Quant à la matinée, une vingtaine d’invités y ont pris part, offrant de multiples points de vue sur les cités de demain.

Classes créatives Ainsi concernant l’attractivité d’une ville, Philippe Torres, directeur général adjoint de l’Atelier BNP Paribas, invite-t-il les décideurs locaux à attirer les « classes créatives » (artistes, créateurs…), précisant qu’au-delà de 45 000 habitants, les problématiques des villes se ressemblent de l’une à l’autre. Un élément important quand on sait, selon Edouard Husson, vice-président de PSL, que, d’une part, la force de l’Allemagne vient de son tissu de grandes et moyennes villes (idem autrefois pour l’Italie) et que, d’autre part, le numérique doit permettre de créer du «…
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