Le service civique et CitizenCampus accompagnent le changement de paradigme dans la transmission des savoirs et des connaissances : le basculement d’une ère de la connaissance rare, retenue, inaccessible, à une ère de la connaissance abondante, omniprésente, instantanée.
Lorsqu’Isabelle Forget-Allégret m’a invité à participer à CitizenCampus, je présidais l’Agence du service civique, fonction que j’ai exercée pendant trois ans. Conçu au départ comme une alternative ou un substitut au Service national, le service civique se présentait comme une école de l’engagement et de la citoyenneté : il s’agissait d’apprendre l’altruisme par la pratique de missions d’intérêt général. Cet objectif a incontestablement été atteint pour les 150 000 jeunes qui font un service civique chaque année, mais les échanges que j’ai pu avoir avec nombre d’entre eux me donnent à penser…
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