Directrice du programme « Nouveaux lieux, nouveaux liens » à l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT), Marthe Pommié considère que les tiers-lieux sont appelés à s’inscrire dans la durée, comblant un vide dans le rapport parfois complexe entre la population et les services publics.
Horizons publics publie un hors-série sur la politique publique, ou plutôt les politiques publiques des tiers-lieux, et le risque que cela implique pour ces lieux alternatifs. Vous avez la charge de cette politique : que vous inspire cette démarche ?
Je pense que nous ne serons pas loin des 2 500 tiers-lieux créés sur le territoire à la fin de l’année 2022. Ce n’est donc pas un effet de mode, mais un dispositif qui a trouvé sa pertinence au croisement de l’action publique, des besoins des habitants, des initiatives citoyennes et des difficultés que certains territoires rencontrent. L’objectif…
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