L’aménagement et l’urbanisme, l’art et la culture, sont des secteurs qui se recalculent au regard des contextes critiques, de la complexité des sujets, de la faillite des organisations, des urgences à engager les changements. Nouvelles coordonnées, nouvelles échelles, nouveaux modes relationnels et nouvelles postures à inventer, le recours à la fertilisation croisée entre ces deux mondes fait possiblement apparaître des pratiques de troisième type.
L’urbanisme n’est plus. Vive l’urbanisme ! Il est devenu indiscutable d’énoncer une certaine fin de la vocation planificatrice de l’urbanisme. Comment planifier dans un monde d’incertitudes économiques, sociales et climatiques ? Les modalités « classiques » de la conception des espaces de vie (habiter, travailler, circuler, se divertir), de la fabrique du commun, s’envisagent désormais dans de nouveaux registres, mixtes, réversibles, agiles, collectifs, ouverts.
L’anxiété écologique et la démocratie territoriale poussent à réinventer les métiers de l’urbanisme et de l’aménagement.
D’un autre…
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