Malgré une ampleur et une architecture institutionnelle inédite, la Convention citoyenne pour le climat, qui a remis ses 149 propositions en juin, s’inscrit dans la continuité d’un réformisme participatif de la démocratie environnementale. Un constat valable pour nombre d’expérimentations menées dans les territoires sur les enjeux environnementaux et climatiques.
Résumé
Le 25 avril 2019, le président de la République annonçait la création d’une convention citoyenne pour le climat présentée comme « exercice inédit et ambitieux » supposé répondre « à la double urgence climatique et démocratique ». Si l’exercice a effectivement quelque chose d’inédit dans son ampleur, il s’inscrit dans la continuité d’un réformisme participatif plus que jamais dans l’air du temps et d’une conception procédurale de la démocratie environnementale désormais bien établie par le droit.
S’il est évidemment trop tôt pour savoir quels seront les effets de la convention citoyenne…
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