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Dossier

La participation citoyenne pour la transition écologique, changement de cap ou réformisme de plus ?

La Convention citoyenne pour le Climat
La Convention citoyenne pour le Climat s'est réunie pendant six week-ends au siège du Conseil économique, social et environnemental (Cese).
Le 31 août 2020

Malgré une ampleur et une architecture institutionnelle inédite, la Convention citoyenne pour le climat, qui a remis ses 149 propositions en juin, s’inscrit dans la continuité d’un réformisme participatif de la démocratie environnementale. Un constat valable pour nombre d’expérimentations menées dans les territoires sur les enjeux environnementaux et climatiques.

Résumé Le 25 avril 2019, le président de la République annonçait la création d’une convention citoyenne pour le climat présentée comme « exercice inédit et ambitieux » supposé répondre « à la double urgence climatique et démocratique ». Si l’exercice a effectivement quelque chose d’inédit dans son ampleur, il s’inscrit dans la continuité d’un réformisme participatif plus que jamais dans l’air du temps et d’une conception procédurale de la démocratie environnementale désormais bien établie par le droit. S’il est évidemment trop tôt pour savoir quels seront les effets de la convention citoyenne…
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