Directeur général de l’hôpital-clinique Claude-Bernard à Metz et directeur de la région Grand Est du groupe ELSAN, Gabriel Giacometti estime que la crise sanitaire a contribué à instaurer une synergie dans le paysage hospitalier, où l’intérêt du patient prime avant toute chose.
Dix-neuf mois après le début de la crise sanitaire, qu’est-ce qui a changé dans le monde de la santé en général et dans votre établissement en particulier ?
Je pense que cette crise sanitaire a eu des effets psychologiques majeurs sur les acteurs du monde de la santé en contribuant à ouvrir les esprits, à rapprocher des mondes auparavant antagonistes pour mieux coopérer et à se concentrer sur l’essentiel, à savoir le patient. En mars 2020, il faut le reconnaître, nous avons tous eu très peur face à un virus que nous ne connaissions pas qui engendrait un taux de mortalité important, dans un…
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