Revue
Cultures publiquesChronique Liberté, j’écris ton nom, pour te retrouver…
Cette année, à l’approche d’Halloween, pour faire plaisir à mon neveu d’un an et demi, je m’apprêtais à ressortir la vieille boîte hermétique du grenier remplie de décorations et de déguisements effrayants. Bien sûr – covid oblige – on savait qu’on ne ferait pas le tour du quartier pour quémander des sucreries, mais peu importe, pour une fois, j’étais quand même bien content d’enfiler un masque !
Mais ça, c’était sans compter sur la deuxième saison de la mesure à succès du printemps dernier. Nous y voilà : confinement, le retour.
Bien que les quelques jours qui précèdent une allocution du président de la République laissent toujours planer un léger suspense, je ne m’aventurerais pas à qualifier ce reconfinement de « coup de théâtre ». Ça n’est pas comme si l’information n’avait pas déjà été annoncée, en détail, plusieurs jours auparavant dans les médias…
Mais dans un tel cas, peut-on encore parler de « fuites d’information » alors que ces épisodes sont devenus si habituels ?