Le programme Entrepreneur(e)s d’intérêt général (EIG) incarne cette nouvelle vague de la réforme de l’État qui fonctionne « en mode commando » et « à bride courte » en tentant de contourner les supposées lourdeurs et pesanteurs de la bureaucratie administrative par des leviers issus de l’extérieur. Quel est l’écart entre les promesses du programme et les finalités qu’il sert réellement ?
Résumé
Le numérique peut-il transformer durablement l’administration et sa bureaucratie ? Est-il le chaînon manquant pour inventer le service public du XXIe siècle et — enfin — faire mieux, avec moins ? Afin de tourner la page de la très décriée révision générale des politiques publiques (RGPP), qui faisait la part belle à l’introduction de nouvelles méthodes de management dans les organisations publiques, il s’agirait désormais de penser en terme « de culture de l’ouverture », et « d’infrastructures de l’intérêt général » pour un État repositionné en mode « plateforme » qui donne les moyens…
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