Pardon tata Monique

Le 9 février 2020

Salut à tous et toutes ! C’est un plaisir de vous retrouver. J’en profite pour vous souhaiter une bonne année, une bonne santé et tout ce qui va avec. Que cette nouvelle année soit celle de la réussite de tous vos projets personnels et professionnels. Au passage, j’espère que vous avez bien profité des fêtes de fin d’année. À ce propos, on remercie Nadine Cretin, historienne invitée de Yann Lagarde, au micro de France culture, pour avoir, enfin, tranché le débat autour de la légende urbaine selon laquelle le personnage du père Noël aurait été créé par la marque Coca-cola !

Justement, en parlant du père Noël, j’espère qu’il vous a gâté. Pour ma part, je passais de très bonnes fêtes en famille jusqu’à la catastrophe. Celle qui ne m’a vraiment pas gâté, c’est tata Monique. Elle m’a offert une grosse lampe dorée en forme de feuille de bananier avec un abat-jour rouge pétant. J’ai souri poliment, mais je l’ai trouvée affreuse (la lampe, pas tata Monique).

S’il en fallait encore une, voilà une preuve de plus que tous les goûts sont dans la nature et qu’ils ne s’expliquent pas (enfin pas toujours). Aussi, me fondant sur cette belle idée, je me suis dit que tata Monique ne devait pas être seule sur cette Terre et que d’autres que moi pourraient assurément offrir une belle et longue vie à sa lampe : j’ai décidé de la revendre sur Internet. Je le confesse, je fais désormais officiellement partie de ces 48 % de Français qui ont déjà revendu un cadeau de Noël1. Mais alors cette année, prudence ! Plus le droit à l’erreur. Il paraît que si je revends…
Cet article est réservé aux abonnés.
OU

Abonnez-vous à la revue Horizons publics

  • Formule Intégrale Pro

    6 numéros par an
    + 4 hors-séries
    + 10 comptes d'accès au site

  • Formule Intégrale Perso

    6 numéros par an
    + 4 hors-séries
    + 1 compte d'accès au site

S'abonner
×

A lire aussi