Depuis 2012, peu de travaux ont été menés analysant le recours par les acteurs publics à des consultants. Sans prétention à l’exhaustivité ni à la rigueur scientifique, je veux exposer ici quelques questions liées à l’usage traditionnel des consultants, et quelques pistes pour – peut-être – y répondre1.
Résumé
Passés maîtres dans la gestion de projet (méthodes) et l’art du benchmark, les consultants interviennent en général pour (aider à) définir, impulser, mener ou évaluer un changement, qui peut être stratégique, organisationnel, managérial ou relationnel. Cependant, l’une des limites importantes de l’intervention traditionnelle des consultants auprès des acteurs publics réside dans le fait qu’ils ont tendance à favoriser l’acceptabilité du changement plutôt que la désirabilité.
Deuxième limite des cabinets de conseil, selon Romain Beaucher : ils sont mal équipés et peu désireux d’intégrer…
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