Revue

Dossier

L’ère de la prospective par et pour les expert·es est révolue

Entretien croisé prospective
En haut à droite : Stéphanie de Meslon, Directrice de la prospective et de l’évaluation à la communauté d’agglomération du Sicoval (la communauté d’agglomération du sud-est Toulousain). En bas à droite : Mathilde Garcin, Responsable prospective et coopération intercommunale à la communauté d’agglomération de Grand Angoulême. A Gauche : Camille Bouron, Directeur stratégie et coopérations territoriales à la communauté d’agglomération de La Rochelle
©JN
Le 31 mars 2021

Responsables de la prospective dans trois communautés d’agglomération différentes, Stéphanie de Meslon, Mathilde Garcin et Camille Bouron reviennent sur la genèse et le rôle du club prospective de l’Association des directeurs généraux des communautés de France (ADGCF) dont ils sont membres actifs. Ils partagent leur vision de la prospective et expliquent pourquoi ils ont souhaité publier le manifeste Pour une prospective pragmatique à l’occasion de ce hors-série thématique.

Quelle est votre vision de la prospective territoriale ? Stéphanie de Meslon – La prospective, c’est se mettre autour d’une table avec toutes les parties prenantes du territoire pour prendre du recul, engager une réflexion tout en regardant dans la même direction. C’est comprendre les phénomènes à l’œuvre et chercher à en projeter une vue d’ensemble. L’exercice est vertueux car il impose un autre rythme, celui d’arrêter de courir après les urgences pour se poser ensemble afin de regarder vers le futur en croisant les regards (acteurs de terrain, les élus, les habitants, etc.). Les défis qui…
Cet article est réservé aux abonnés.
OU

Abonnez-vous à la revue Horizons publics

  • Formule Intégrale Pro

    6 numéros par an
    + 4 hors-séries
    + 10 comptes d'accès au site

  • Formule Intégrale Perso

    6 numéros par an
    + 4 hors-séries
    + 1 compte d'accès au site

S'abonner
×

A lire aussi